Wild Parsnip/ Panais sauvage

Cliquez ici pour la version française.

Additional information on Wild Parsnip hazards, control and disposal is available on the Ontario’s Invading Species Awareness Program web site.  

Wild Parsnip is an invasive plant that is increasingly common within the City of Ottawa in areas of uncultivated land, roadside ditches, nature trails, as well as on and surrounding rural and residential properties.

Wild Parsnip may pose a health risk to humans. The plant sap contains chemicals that may cause skin and eye irritation and make the skin prone to severe burning and blistering when exposed to the sun. The blisters typically occur one to two days after contact with the plant. This can result in long-term scarring of the skin.

The best way to avoid contact with Wild Parsnip is to become familiar with what the plant looks like so you do not accidentally get burned.


Identification

Wild Parsnip is a highly branched plant, with hollow green stems. It has two growth stages: non-flowering leafy rosettes at ground level and 0.5 to 1.5 metre-tall flowering plants. In the first year of growth, low-growing non-flowering rosettes of leaves form with a cluster of spindly, compound leaves that resemble celery leaves. Second and third year plants have tall, branched flowering stalks that usually bloom in early June to late July. Seeds are flat and round. It is a biennial plant, reproducing only by seed.   The seeds can lie dormant for years making it even more challenging to control.

leaf flower
           First year wild parsnip leaves                     Flowering wild parsnip


What to do if you see wild parsnip


On City property:

Report Wild Parsnip, Poison Ivy or Giant Hogweed on city property by calling 3-1-1 or letting them know using their on-line reporting form.

On Private Property:

Strategies to remove Wild Parsnip include the digging out the plant roots, targeted mowing, the use of herbicides and ongoing monitoring.

Digging the root up: Residents that have a small infestation in a yard or garden (fewer than 100 plants) or who do not want to use pesticides can dig out as much of the taproot as possible with a sharp shovel or spade. Follow-up digging will be required every few weeks to deal with re-growth (if the taproot was not completely removed) or missed plants. DO NOT burn or compost Wild Parsnip plants that have been cut down or dug up. Plants and roots that have been removed should be placed in a dark plastic bag and placed in the sun if possible away from areas children or pets could access them.

Targeted mowing: Mowing can be effective if begun just after peak blooming, but before the seeds set in the late summer or early fall. Cut plants will likely re-sprout after mowing, so it is important to combine mowing with other control methods such as bagging and removing the plants, especially those that are flowering and spot spraying with an approved herbicide. Be especially careful when using mowers, weed whips, mechanical string trimmers as they can spray users with sap and bits of the plants, leading to redness and sometimes hundreds of blisters on exposed skin. Wear goggles and protective clothing when mowing.

Use of herbicides: When a weed such as Wild Parsnip is declared a noxious weed, both the City and residents are able to purchase herbicides to control it. This is not considered a cosmetic use of pesticides because this plant can pose a risk to people. For more information please go to the Ontario Ministry of the Environment and Climate Change (MOECC) website.

Monitoring: Long-term monitoring is important in keeping this weed under control, as seeds will continue to germinate for several years.

 

_________________________FRANCAIS_________________________

 


Vous trouverez des renseignements importants sur les risques, le contrôle et l’élimination du panais sauvage sur le site Web du Programme de sensibilisation aux espèces envahissantes de l’Ontario (en anglais seulement). 

Le panais sauvage est une plante envahissante que l’on retrouve de plus en plus à Ottawa, et qui pousse habituellement dans les terres non cultivées, les fossés en bordure des routes et les sentiers naturels ainsi que sur les propriétés rurales et résidentielles et autour de celles-ci.

Le panais sauvage peut poser un risque pour la santé humaine. Sa sève contient un produit chimique qui peut irriter les yeux et la peau, et rendre celle-ci sujette aux brûlures graves et aux cloques en cas d’exposition au soleil. Les cloques apparaissent généralement un à deux jours après le contact avec la plante et peuvent laisser des cicatrices à long terme sur la peau.

La meilleure façon d’éviter le contact avec le panais sauvage est de se familiariser avec son apparence afin de ne pas y toucher par accident.

Identification

Le panais sauvage est une plante très ramifiée à la tige verte et creuse. Sa croissance se fait en deux phases : il présente tout d’abord des rosettes dépourvues de fleurs au niveau du sol, puis se transforme en plante à fleurs d’une hauteur de 0,5 à 1,5 mètre. Pendant la première année de croissance, ces rosettes formeront une couronne de feuilles filiformes et composées qui ressemblent aux feuilles de céleri. Pendant la deuxième et la troisième année de croissance, la plante présente de longues ramifications qui fleurissent habituellement du début juin à la fin juillet. Ses graines sont rondes et plates. Son cycle est bisannuel, et elle se reproduit uniquement par ses graines, lesquelles peuvent entrer en période de dormance, ce qui rend sa propagation encore plus difficile à freiner.

leaf flower
Feuilles de panais sauvage                       Fleurs jaunes de panais sauvage

Ce qu’il faut faire si vous voyez panais sauvage

Sur les terrains municipaux:

Signalez la présence de panais sauvage, d’herbe à puce et de berce du Caucase sur les terrains municipaux en téléphonant au 3 1 1 ou en remplissant le formulaire en ligne.

Sur les propriétés privées:

Pour éliminer le panais sauvage, vous pouvez en extraire les racines du sol, passer la tondeuse aux endroits où il pousse ou utiliser des herbicides et assurer une surveillance continue.

Élimination des racines: les résidents qui ont une petite infestation dans leur cour ou leur jardin (moins de 100 plantes), ou qui ne veulent pas utiliser de pesticides, peuvent creuser autour de la plante avec une pelle ou une bêche affûtée pour exposer le plus possible sa racine pivotante. Il sera nécessaire de creuser de nouveau aux quelques semaines afin d’éliminer les repousses (si la racine pivotante n’a pas été complètement arrachée) et de voir aux plantes oubliées. IL NE FAUT PAS brûler ou mettre au compost les plants de panais sauvages qui ont été coupés ou arrachés; il faut plutôt mettre les plantes et les racines dans un sac de plastique de couleur foncée et placer celui-ci au soleil, hors de la portée des enfants et des animaux.

Tonte ciblée: la tonte peut être efficace si elle est faite juste après le pic de floraison, mais avant que les semences ne se répandent à la fin de l’été ou au début de l’automne. Comme il est probable que les plantes ainsi coupées repoussent après la tonte, il est important de combiner la tonte à une autre méthode de contrôle, par exemple, retirer les plantes et les placer dans un sac, particulièrement celles en floraison, ou les asperger d’un herbicide approuvé. Soyez particulièrement prudent lorsque vous utilisez la tondeuse, la tondeuse à fouet ou la tondeuse à fouet mécanique, puisqu’elles peuvent projeter des gouttelettes de sève et des morceaux de plantes, ce qui peut causer des rougeurs et parfois même des centaines de cloques sur la peau exposée. Portez des vêtements et des lunettes de protection lorsque vous passez la tondeuse.

Utilisation d’herbicides: lorsqu’une mauvaise herbe comme le panais sauvage est déclarée plante nocive, tant la Ville que les résidents sont autorisés à acheter des herbicides pour contrôler sa propagation. Dans ce cas, l’utilisation de pesticides n’est pas considérée comme esthétique, puisque cette plante présente un risque pour la population. Pour en savoir plus, consultez le site Web du ministère de l’Environnement et de l’Action en matière de changement climatique (MEACC).

Surveillance: il est important d’assurer une surveillance à long terme pour contrôler la propagation puisque les graines continueront de germer plusieurs années.